L’Université de Montemorelos est reconnue pour sa contribution en santé lors d’un congrès international.

Le 10 juin 2019 | Montemorelos, Mexique | Laura Marrero/Nouvelles de la DIA

Les dirigeants de l’Université de Montemorelos ont récemment reçu le premier prix pour leurs découvertes dans le cadre d’une étude qui contribuera au réseau de la communauté médicale internationale. Cette reconnaissance leur a été accordée lors du 9e Congrès ibéro-américain des universités promotrices de santé à Monterrey, au Mexique, du 21 au 24 mai dernier.

de l’Université de Montemorelos lors du 9e Congrès ibéro-américain des universités promotrices de santé tenu à Monterrey, au Mexique, du 21 au 24 mai 2019. Une photo de l’Université de Montemorelos.

Le groupe de professeurs et d’orateurs

Les professeurs de Montemorelos étaient parmi les 340 personnes venues de divers établissements publics et privés de 18 pays d’Europe et d’Amérique latine. Ces participants à l’événement universitaire ont écouté et découvert plus de 200 présentations, contributions de recherche et initiatives qui mèneront possiblement à des ententes dans les sphères politique, sociale et universitaire en matière de santé et de bien-être dans de nombreux pays.

C’est le Dr Esteban Quiyono, professeur à l’école supérieure de l’Université de Montemorelos et membre du comité de santé technique et spirituelle, qui a dirigé la présentation gagnante. D’autres professeurs et administrateurs de l’Université de Montemorelos ont également fait des présentations lors de l’événement.

Lors du congrès, une plateforme servait à présenter les progrès du réseau d’universités promotrices de santé. L’événement a aussi notamment mis l’accent sur les solutions aux défis posés par les objectifs de développement durable, la promotion de la santé, le développement durable sur les campus universitaires et les politiques universitaires favorables à la santé.

Le Dr Esteban Quiyono (à droite) et le Dr Roel Cea (à gauche) de l’Université de Montemorelos tiennent leur certificat de première place pour la meilleure présentation orale sur les découvertes scientifiques lors du 9e Congrès ibéro-américain tenu à Monterrey du 21 au 24 mai 2019. Une photo de l’Université de Montemorelos.

À travers sa recherche, l’Université de Montemorelos a présenté des études de validation de l’échelle de santé spirituelle comme élément additionnel à l’initiative intitulée « Je veux vivre en santé » qui a été reconnue et mise en pratique partout dans le monde. Cette initiative consiste en huit étapes pour un mode de vie sain : boire de l’eau, rester positif, manger de la salade, faire de l’exercice, se reposer, éviter les aliments peu nutritifs, manger plus et mieux le matin et moins le soir et promouvoir le bonheur.

« Nous avons terminé la première étape de ce projet de recherche, a dit le Dr Roel Cea, directeur des universités promotrices de santé du Mexique à l’Université Montemorelos. L’étude sur l’échelle de santé spirituelle a été développée dans le cadre de la cosmovision biblique, des écrits d’Ellen G. White et des explications scientifiques sur ce concept. »

Selon lui, la prochaine étape consistera à poursuivre l’étude et l’application des variables qui établiront un lien entre la spiritualité (ou la croyance en un être supérieur) et la santé et le bien-être.

Le Dr Ismael Castillo (deuxième à droite), recteur de l’Université de Montemorelos et président du réseau national des universités promotrices de santé, dirige une séance de discussion. Une photo de l’Université de Montemorelos.

L’étude a fait partie d’une collaboration avec le département de la santé de l’Église adventiste mondiale, la Division interaméricaine, l’Union nord-mexicaine, l’Université de Montemorelos, le réseau d’institutions qui participent à l’initiative « Je veux vivre en santé », l’Académie française de médecine et le consortium avec NUTRINET, une large base de données numérique fondée et mise sur pied par une équipe française d’érudits et d’experts du domaine de la santé. Elle offre des renseignements sur la nutrition, des conseils et des recommandations scientifiques pour le Mexique et d’autres pays sud-américains.

« Il s’agit d’une merveilleuse occasion d’offrir une échelle qui nous permettra de mesurer la santé spirituelle des gens d’un point de vue biblique, a dit le Dr Cea. Nous pouvons voir que le monde scientifique désire connaître et comprendre la santé spirituelle et sa relation avec la santé physique, mentale et sociale. »

L’Église adventiste du septième jour, par l’entremise de l’Université de Montemorelos, contribue au bien-être de ses étudiants et de son personnel ainsi que des communautés environnantes. Ces programmes comprennent le « zéro diabète », le « zéro cécité évitable » et le « zéro carie », ainsi que des programmes d’entraînement et des activités relatives à l’initiative « Je veux vivre en santé ».

Des participantes du Congrès montrent le maillot « Je veux vivre en santé » qu’elles ont reçu au kiosque de l’Université de Montemorelos. Une photo de l’Université de Montemorelos.

L’Université de Montemorelos est un membre actif du réseau ibéro-américain des universités promotrices de santé et membre également du réseau national de santé de Nuevo Leon. De plus, elle a un comité spécial avec le NUTRINET du Mexique composé de dirigeants et d’administrateurs d’églises ainsi que de professeurs, dont Zeno Charles Marcel, Blekis Archbold, Luis Arturo King García, Ismael Castillo, Victor Korniecjzuk, Esteban Quiyono, Alberto Valderrama, Marcelo Moroni, Jaime Rodríguez, Nahum García, Luis Arturo King Murrieta et Roel Cea.

Pour en savoir plus sur l’Université de Montemorelos, ses programmes, ses initiatives et ses activités lors du congrès, veuillez cliquer ICI.

Traduction : Marie-Michèle Robitaille

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